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 Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine.

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Solange J. Baudelaire

Solange J. Baudelaire

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MessageSujet: Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine.   Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. I_icon_minitimeMer 20 Juil - 0:19



Ϟ First Step
Informations importantes avant le départ

Nom & Prénom : Baudelaire, Solange James
Date & Siècle de naissance : 11 Novembre, XXI siècle.
Âge : 26 ans
Nationalité : Russie
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
Groupe d’appartenance : Epsilon



Ϟ Second Step
This is my mad world

I. The silver spoon is not always a good sign

Vous allez rouler des yeux, je le sens, je le sais. Simplement, tout simplement, puisque vous ignorez ce que c’est, vous assumez le savoir, tout connaître, tout simplement parce que la vie, selon vous, a été moins clémente avec votre personne. Croyez-moi, si Dieu existait vraiment, il aurait mit tout le monde sur le même pied d’égalité, non sur ces classes sociales qui pourrissent l’existence de tout le monde, et ce, pour différentes raisons.

Cette vie, tellement parfaite, celle des gens riches, celle que vous convoitez tous, sans vous demandez si elle en vaut réellement la peine : je l’ai eu, cette putain de vie. Merde que j’aurais préféré naître dans la classe moyenne, avec des personnes vraies. Pourtant, chaque jour, je réalise que chaque être vivant, riche ou pauvre, est puérile, vide, demandant, prêt à tout pour monter vers le sommet, et ce, sans se demander une seule seconde ce qui arriverait à ceux qui se trouvait sous son pied dans cette montée vertigineuse. Atteindre le sommet comporte son lot de risque et de tristesse : l’argent ne rend pas heureux. Il offre la possibilité d’être bien, mais aussi d’être aigre et d’oublier d’aimer ce qui importe vraiment. Moi, j’ai eu droit à ce traitement froid, stérile et vide. La palette des couleurs de mon existence se retrouve surtout dans les teintes foncées, ternes, parfois explosive – un faux bonheur – et je ne peux imaginer que quelqu’un souhaite vivre comme ça.


11 Novembre, journée du souvenir, on se souvient des gens morts à la guerre, quelle bonheur. Puis c’est dans toute cette merde grise et pathétique – s’il n’y avait pas eu de gens assoiffés de pouvoir, donc pas de guerre, ainsi pas de jour du souvenir, mais non, hein, il en faut toujours des cons – je suis née. Je suis née dans le malheur, en fait, car la seule raison qui m’a poussé à exister c’est le désir de mon cher père d’avoir un héritier. J’ai bien dit un, non une. Le machiste, le putain de machiste, mon père adorait ça, le machiste. Il était macho, soutenant que les femmes ne servaient qu’à cuisiner, laver, sourire, être bien roulées, à être bonnes au lit, puis à pondre des bébés pour assurer la descendance. Merde, je crois qu’il n’a pas lu la bonne date dans le journal : 2011, pas 1920. Ça devait être parce qu’il était Russe et qu’il était devenue un « self-made man », comme son père, son grand-père, etc, et qu’en plus, il l’avait fait en tant qu’immigrant dans le sud de l’Espagne. Pourtant, les Espagnols semblaient respecter les femmes, il faut croire que mon cher paternel n’a pas emprunté les bonnes coutumes de son pays adoptif. Je suis née en Russie, mon père très patriotique – haha, quelle bonne blague – a décidé d’envoyer ma mère dans leur pays natal afin que je puisse naître d’origine et de nationalité Russe. Puis, nous sommes, ma mère et moi, revenue en Espagne. Laissez-moi préciser quelque chose avant de continuer : mon vrai nom est Solange J. Statsevich, plus tard, je l’ai changé pour Baudelaire. Le J. il est pour quoi, vous me demanderez : mon père voulait tellement un garçon qu’il m’a donné « James » comme deuxième prénom, l’imbécile.

Bref, je suis donc née avec une cuillère argentée dans la bouche, et ce fut un beau coup du ma belle petite gueule. Au début, ma mère était de nature chaleureuse, aimante, puis doucement mon père a répandu son venin dans l’âme de celle qui m’a mise au monde. L’empoisonnement ne fut pas très long : elle commença à me tenir loin d’elle, alors que j’avais l’habitude de la serrer dans mes bras et de lui baiser la joue. Ses paroles devinrent froides, blessantes : je me devais, à tout prix, d’être une fillette modèle, pour l’image. Mon père ne me regardait que lorsque je faisais une bêtise. Souvent, trop souvent, j’ai vue le dos de sa main baguée arriver à une vitesse fulgurante sur mon visage pâle. Tout ça, parce que j’avais joué à la poupée dans le salon et non cachée, loin des regards des invités. Les petites robes qui coûtaient des fortunes, des bijoux hors prix, je n’étais qu’une enfant et je ne voulais qu’une chose : pouvoir être une enfant aimée.

J’avais 8 ans, lorsque mon père, pour bien paraître, a adopté un petit garçon – maman ne pouvait plus avoir d’enfant dû à un cancer – enfin, petit c’est relatif, il avait 13 ans, un adolescent. Il était orphelin, et mon père, étrangement, l’accueillit à bras ouvert : il l’accepta comme le fils qu’il aurait dû avoir, et ce fut bien pire pour moi. J’étais son propre sang et il me détestait. L’autre, ce pauvre petit, il l’aimait comme il n’avait jamais aimé. Stupide fierté masculine, il peut se la mettre où je le pense. Je grandis dans l’ombre de ce frère adoptif. J’avais l’étrange impression que son affection pour moi n’était que faite de pitié ou encore, derrière cette affection se cachait le rire machiavélique d’un futur homme qui avait déjà tout gagné, alors que moi je me débattais encore pour respirer.
Je fus envoyé au pensionnat à l’âge de 12 ans, pour en revenir à l’âge de 15 ans.

II. I am not Cinderella, I don’t have a fairy godmother.

Vous avez maintenant fini de rouler des yeux? Vous comprenez mieux maintenant, cette putain de misère émotionnelle que je vis? À laquelle je survie depuis ma naissance. À l’adolescence, on aurait dit que la petite cuillère d’argent avait rouillée, ou qu’elle m’avait été arrachée de la bouche et mise dans celle de Juan, mon frère adoptif, puis qu’à la place, on avait placé l’amer fruit de la solitude. Pourtant, je n’ai jamais demandé de croquer dans ce fruit interdit, celui qui amène la misère. J’aurais préféré ne jamais naître ou naître mâle. Au pensionnat, j’étais bien, entourée de ces autres filles riches ou pas, des enseignantes aimantes, de la routine. Bref, je m’étais sentie acceptée, aimée et je n’étais pas punie pour des conneries. Au début, j’étais un peu silencieuse, puis rapidement j’ai découvert ma vraie personnalité, cachée au fond d’un gouffre par l’attitude merdique d’un père vaniteux.

Pourtant, il a décidé de m’arracher à ce bonheur nouveau. La plaie est vive et restera ouverte, le salaud.


Lorsque la portière de la voiture s’est ouverte, j’ai vue la bouche de ma famille tomber, ils ne s’attendaient pas à voir une futur jeune femme bien roulée, avec de long cheveux chocolats, des grands yeux verts et un sourire démontrant le bonheur qu’elle avait vécu. Pourtant, à ce moment, j’aurais voulu ressembler à un crapaud et ne pas avoir eu l’air si heureuse. Mon père, ce connard, ça lui fit bien trop plaisir de me retirer ce petit bonheur : il décida de me procurer un tuteur et que le reste de mes études secondaires soit fait à la maison, cloitrée entre quatre murs, je n’ai pas eu de contact avec le monde extérieur pendant 3 ans et demi. Le premier tuteur m’emmerdait, il ressemblait à mon grand-oncle Gustave, ce qui n’est pas bon, ainsi, je m’endormais lors de ses leçons. Rapidement, il fut remplacé, en fait, en l’espace d’un mois, je vis 4 tuteurs se relayer. Puis, mon père engagea un jeune homme, sortant de l’Université d’Oxford et qui voyageait à la recherche d’emploi en Europe. Quelle erreur de sa part. Peter Montgomery : belle gueule, grand, légèrement musclé, cheveux bruns un peu bouclé, yeux noirs, lèvres fines, bref, il était absolument charmant. En plus, on s’entendait vraiment bien et ses cours étaient passionnants, et ce, parce qu’il était doué, non parce qu’il était beau. Grâce à lui, je me suis découverte une réelle passion pour l’histoire, les époques, l’archéologie et la sexualité. Oui, Peter fut on premier. Je venais d’avoir 17 ans, cela faisait deux ans qu’il m’enseignait. La chimie avait toujours passé entre nous deux, mais aucun de nous n’avait tenté de faire un pas de plus, dépassé cette limite enseignant-élève. Ce fut fait. Dans cette petite pièce fermée, sur le tapis, j’ai été dépucelée. Au revoir virginité si précieuse, au revoir rêve de Papa de me voir pucelle jusqu’au mariage arrangé, au revoir enfance, innocence, bonjour féminité. On s’aimait, beaucoup, et pourtant, mon père a été averti et il a réussi à nous séparer, après un an de fréquentation, Peter a disparu de ma vie, sans un mot d’au revoir. Mon père l’a fait évaporer durant la nuit : il l’avait surement fait assassiner, mais ça, je ne le saurai jamais.

Je déteste mon père, jusqu’au fond de mon âme. Un soir, alors que je me brossais les cheveux devant mon miroir, Juan entra dans ma chambre et ferma la porte à clef. Je m’étais demandée ce qu’il venait bien faire ici : d’habitude, lorsqu’il voulait me parler, il m’apostrophait comme mon père le faisait si bien : où est allé le temps où ce frère m’aimait bien? Juan prit la brosse de mes mains et brossa mes cheveux, doucement, puis il déposa l’objet. Il repoussa mon épaisse chevelure et se mit à baiser ma nuque. Outrée, je l’ai repoussé et je lui ai demandé de sortir. Ce qu’il dit ensuite m’acheva : Père m’a dit que tu étais une salope déshonorée et que, puisque tu n’étais pas ma vraie sœur, je pouvais me servir de toi pour cette nuit. Ai-je bien entendue? Mon père me prend maintenant pour une poubelle à sperme à qui-mieux-mieux? J’ai eu beau hurler et me débattre, rien n’y fit, mon souffle fut pris ce soir là, ainsi que mon corps, comme un animal que l’on tue sans son consentement. J’ai été laissé, dans mes draps sales, mon corps souillé et mon âme nue, il est parti sans un bonne nuit sans un merci : j’ai été prise pour acquis, comme une catin qu’on utilise sans payer. Et je savais que si je portais plainte, ma voix soufflerait dans le vide, qui étais-je contre Juan Statsevich et mon père, ce salaud égocentrique, ce monstre.

Le lendemain d’une nuit où je n’avais pu fermer l’œil ni verser une larme ni lâcher un cri de plus, j’ai demandé à mon père de m’envoyer à l’Université d’Oxford, de me le payer et qu’il n’allait plus jamais me revoir. Il le fit, avec plaisir même, sans demander son reste, bien trop content de se débarrasser de moi.

Je m’étais dit que plus jamais je ne remettrai les pieds dans le même endroit que cette famille empoisonnée jusqu’à l’âme.

III. Welcome in the Mad Mad World

J’étais enfin libérée. Je n’ai pas de mot pour decrier ce soulagement, le Bonheur de cette liberté éperdue.

À l’Université, j’étudiais en histoire et en archéologie. Je me suis plongée corps et âme dans ce domaine et je devins la meilleure de ma promotion, peut-être même, la meilleure qu’Oxford est jamais eu. En dehors des cours, je découvris les fêtes, l’alcool, un peu de drogue – je n’ai pas aimé ça – et surtout, plein d’hommes. Souvenez-vous, je suis une salope déshonorée, autant continuer dans cette lancée. Je n’en avais rien à foutre de la vie, de commencer je la vivais, tant que je devenais la meilleure dans quelque chose : l’histoire, donc… le sexe peut-être un peu aussi. Prouver à cette famille de merde que j’avais que je pouvais devenir plus, même sans leur argent.

J’ai changé mon nom de famille, pour me dissocier de cette crapule. Baudelaire, par ce qu’il était mon écrivain préféré et que ses textes noirs me rappelaient mon existence balafrée. Puis, Baudelaire, ça sonnait prestigieux, mais aussi boiteux, j’adore ça : les extrêmes.

À 24 ans, j’étais diplômée avec mention. Évitant les médecins, les psychologues, tout, j’ai commencé une carrière d’archéologue et j’ai écrit quelques bouquins historiques. J’ai foutue en l’air quelques mariages, sans m’inquiéter du reste, que mon petit plaisir. J’ai réalisé que ce que je faisais n’étais pas mieux que ce que faisait mon père au mauvais moment : Francis Stoecklen. J’ai rencontré cet homme lors d’une fouille en Grèce. Il était un professeur français et ça avait cliqué, ainsi je devins sa maîtresse sur le chantier, puis hors chantier. Sa femme ne prit pas de temps à comprendre ce qui se passait et demanda le divorce. Elle lui prit tout, par ma faute, je n’aurais jamais dû le séduire sachant qu’il était marié et père. Il s’est suicidé, seul au monde. J’ai donc cessé de faire du mal – mal que je faisais sans m’en rendre vraiment compte – et je me suis concentrée sur ma carrière fleurissante.

Cette carrière m’a amenée à me faire embaucher dans le Projet Phoenix. J’y étais entrée sans me douter qu’il n’y avait aucune possibilité de retour en arrière. J’ai eu très peur au début, oh Diable, oui, je craignais que cela n’échoue et ne coute la vie à des milliers de gens. Puis, on m’apprit que j’allais être celle qui coordonnerait les gens en ce qui à trait aux évènements historiques des époques qu’on visiterait. On m’avait choisie, moi, Solange James Baudelaire, pour mes grandes aptitudes en histoire et en archéologie. Je devrai diriger le groupe pour assurer qu’il n’y ait pas d’erreur, pas de turbulence historique. Si on changeait le passé, le futur pourrait ne jamais être le même.

Avant d’amorcer la phase finale du Projet Phoenix, je reçu une lettre de la maison : ma mère se mourait et voulait me voir. Parce que c’était elle, je me suis déplacée jusqu’en Russie, cette fois, et je suis entrée dans l’enceinte de la maison. Lorsque je suis entrée dans la chambre de ma mère, je la vis, blanche, la vie la quittant, sur son lit. Je me suis approchée et elle m’a sourit pour la première fois depuis au moins 20 ans. Elle m’a prit la main, elle était glacée, j’ai tenté de la réchauffer et elle m’a murmurée : Ma fille, ma belle petite fille, je t’ai toujours aimée. Je n’ai pas agis comme j’aurais dû, je le regrette, mais sache que je t’aime plus que tout. À nouveau un faible sourire, et elle s’est éteinte. J’ai pleuré, longtemps, la tête contre le drap couleur perle : je venais de perdre ma mère pour la deuxième fois et à la fois, j’avais perdu la dernière personne qui m’aimait vraiment. Lorsque je suis sortie de la chambre, j’ai croisé mon père. Il a fait un pas vers l’arrière : il ne s’attendait pas à me voir rayonnante, forte, épique, alors que lui n’étais qu’un petit insecte de la société matérialiste et capitaliste.
Salaud. Connard. Imbécile. Pantin. Simplet. Monstre, lui ai-je craché au visage, puis je suis partie, sans me retourner pour le regarder, il ne méritait pas que je pose à nouveau mes yeux sur lui. Je venais de fermer un chapitre de ma vie qui était resté suspendu trop longtemps.

IIII. Let us live history again

Lors des premières missions, il y a eu des adaptions à faire, spécialement lors de l'Égypte, mais j'étais fascinée de voir tout ce que j'avais étudier, en vrai, devant mes yeux. Émerveillée, je caressais des papyrus neuf que j'avais étudier, des poteries que j'avais découvertes durant mes fouilles. Des personnages mythiques. Cléopâtre n'est pas aussi belle qu'on le prétend, je dois vous l'avouez. Chaque nouvelle époque eu son lot de belles surprises, de bonheur, de certains pépins, mais sans plus. Je vivais cette expérience avec passion et les m'écoutaient, j'étais importante pour ces personnes qui n'étaient rien en 2011, comme moi je n'avais été rien. Ensemble, on créait une communauté soudée, pour l'éternité.

Lorsqu’on arriva à notre plus récente destination, l’époque de la reine Victoria, j’étais contente. C’était une époque que j’aimais bien, et j’adorais le symbole que représentait la reine. Puis, lorsque je réalisai l’endroit où nous nous trouvions, j’ai eu un haut-le-cœur. Nous étions arrivés à l’exact moment où Jack L’Éventreur faisait des siennes. Les paroles de Juan, qui citait mon père, résonnèrent dans ma tête, et je me demandai si j’avais l’air d’une catin, allais-je être éventrée? Je me calmai, sottise, je m’énervais pour absolument rien, car je savais bien que je n’avais pas l’air d’une prostituée. De plus, je n’étais pas assez stupide pour aller me promener et m’assurer que ce psychopathe me remarque bien. Voyons…
En tout cas, malgré le problème avec la machine – en espérant qu’ils le règlent rapidement – le projet se déroulait à merveille de mon côté, malgré la peur qui me tenait au ventre : je craignais vraiment que quelqu’un fasse une énorme connerie et que l’humanité entière soit foutue. Dans quoi m’étais-je embarquée?












Ϟ Et moi
La face cachée

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Comment as-tu connu le forum : Gizmo(tte) hehehe avec plein d'amour.
Est-ce que les pandas domineront le Monde? : Non, ils seront sous le règne des Éléphants. <3
Autre chose à rajouter :Non. (Si: les éléphants sont tellement plus épiques)


Dernière édition par Solange J. Baudelaire le Mer 20 Juil - 4:01, édité 10 fois
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Thomae L. Alcibadies

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MessageSujet: Re: Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine.   Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. I_icon_minitimeMer 20 Juil - 0:32

Bienvenue I love you

Si tu as la moindre question, n'hésites pas. Et si tu veux plus de place, je supprimerais mon message Smile
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MessageSujet: Re: Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine.   Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. I_icon_minitimeMer 20 Juil - 0:50

    Merci Smile

    Parfait, et si j'ai besoin d'espace je te ferai signe! (:
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MessageSujet: Re: Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine.   Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. I_icon_minitimeMer 20 Juil - 2:36

Moi jte dis pas bienvenue. c'est les pandas les plus cool Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. 1722932523 Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. 3394408540
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MessageSujet: Re: Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine.   Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. I_icon_minitimeMer 20 Juil - 3:02

Pffffiiiut. On fera un duel.
Mais je t'aime pareil, choucroutte. <3
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MessageSujet: Re: Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine.   Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. I_icon_minitimeMer 20 Juil - 4:25


Bienvenue sur Travel the Past


Très belle fiche. Ton personnage est fort interessant. J'ai bien hâte de voir l'évolution. N'oublie pas de faire ta fiche de lien et de t'amuser un max!
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MessageSujet: Re: Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine.   Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. I_icon_minitimeMer 20 Juil - 6:36

Bienvenue ! Notre première validée Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. 1366640713
Bon, là je suis à la bourre mais félicitations, je lirais ta fiche tout à l'heure Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. 1122333325
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MessageSujet: Re: Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine.   Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. I_icon_minitimeMer 20 Juil - 6:54

Bienvenue sur Travel The Past I love you Mila Kunis, et russe qui plus est, toi, je t'aime déjà Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. 4153354820
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MessageSujet: Re: Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine.   Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. I_icon_minitimeMer 20 Juil - 12:23

Et oui, je suis votre toute première, c'est une joie!
Tu es mieux de la lire (j'ai lue la tienne, hehe).

Ambroise, 1. merci, 2.on ne peut faire autrement que de m'aimer Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. 4153354820 ... et d'aimer Mila.
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MessageSujet: Re: Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine.   Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. I_icon_minitimeMer 20 Juil - 13:54

Bon, déjà : Baudelaire c’est un de mes poètes préférés donc (a) Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. 1881463262 On rentre vraiment dans ton histoire, en plus, mis à part une ou deux fautes de frappe (ça arrive à tout le monde, moi la première ^^) ton orthographe est nette, c’est très agréable. La pauvre Solange Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. 4263496540 son « frère » est un vrai connard Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. 4073985934 Une archéologue Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. 4153354820 Je suis impatiente d’avoir un lien avec toi Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. 4153354820

T’as lu ma fiche ? Et bien, t’en as du courage Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. 1881463262 Arrow Tu veux une corde ? Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. 2474380249
(j’aime trop les smileys, faut que j’arrête)
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Nadège O. Hemingway
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MessageSujet: Re: Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine.   Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. I_icon_minitimeMer 20 Juil - 14:03

Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. 347136099 Sam est aussi pire que toi Max vous allez bien vous entendre. *a fait attention a ses fautes pour ce post* Arrow
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MessageSujet: Re: Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine.   Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. I_icon_minitimeMer 20 Juil - 16:13

oooh, moi aussi c'est un de mes poètes préférés <3. Eh bien merci merci, trop de compliments (a). Ouais, j'ignore si je vais demander Juan en scénario ou pas, on verra comment je me sens. hehehehe, je suis toute aussi impatiente: j'ai lue ta présentation (oui, j'ai eu le courage) et je n'ai pas été décue. En fait, j'adore ton personnage, donc j'ai tout aussi hâte d'avoir un lien avec toi. Eum, il va falloir réfléchir à quelque chose d'épique.

En fait, j'ai lue toutes les présentations qu'il y avait. hehe. Et j'aime j'aime j'aime!

Bah, tu utilises les smileys, moi j'ai tendance à trop employer le mot "épique".

Et Cath, qu'est-ce que tu entends par "aussi pire"? Razz
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MessageSujet: Re: Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine.   Solange J. Baudelaire - My story is yours, your life is mine. I_icon_minitime

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