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 He left no time for regret, kept his dick wet | Ambroise

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Solange J. Baudelaire

Solange J. Baudelaire

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MessageSujet: He left no time for regret, kept his dick wet | Ambroise   He left no time for regret, kept his dick wet | Ambroise I_icon_minitimeMar 26 Juil - 3:45

He left no time for regret, kept his dick wet | Ambroise Ou6tg3

Please, don't let me die an hundred times


Je n’avais pas encore décidé si je préférais l’époque de Jack l’Éventreur dans les livres d’histoire ou dans la réalité. Vous savez, quand on lit ces détails historiques, on y prend plaisir, on a des frissons qui nous caressent l’échine, une douce violence bat dans nos tempes tant notre désir de connaître la suite est puissant. Ce qu’on ne réalise pas : on est protéger, car ces histoires sont emprisonnées dans l’encre qui parcourt les pages du bouquin. Puis, moi, et plusieurs autres, avons eu la chance de vivre ce que ces livres racontent, et aussi fascinante puisse être l’histoire du meurtrier de Whitechapel, j’ignorais si j’aimerais croiser son chemin, malgré ma brûlante curiosité. En fait, j’avais surtout peur de finir éventrée dans un coin, les seins dans les poches et démunie de mon utérus et de ma vie. Quoiqu’il ne s’attaquait qu’à des prostituées, mais qui sait s’il n’était pas atteint de folie. Le salaud de machiste, il me faisait un peu penser à mon père, mais à cette époque, la suprématie masculine était pire. Comment une femme qui offre son corps est-elle plus punissable que l’homme qui en profite sans se poser de question? Alors qu’en plus, la plupart de ces prostituées sont des jeunes filles déshonorées même pas bonnes à être mariées. Déshonorées par ces chiens galeux que sont les mâles, ces hommes qui bavent sur de la chair fraîche sans craindre pour la personne qui devra porter le fardeau de la gourmandise masculine. Ainsi donc, ce Jack l’Éventreur n’était qu’un homme à l’orgueil mal placé qui a dû, tout autant que les autres, profiter de ces femmes qui ne demandaient qu’un peu d’argent pour manger.

Bref, tout ça m’enrageait. Cela faisait quelques jours, peut-être semaines, que notre machine avait choisi cette époque comme destination et je trouvais que les gens du peuple n’étaient pas nécessairement accueillants avec les étrangers, donc nous. Hier, je me suis promenée dans Westminster et je cherchais un pub particulier – je mens, je cherchais surtout des gens d’influence dans l’enquête sur The Ripper – puis on m’a répondu bêtement. Une femme, une sainte-nitouche, m’a même craché aux pieds, me disant : « il y a juste une catin déguisée en bourgeoise pour demander une chose pareille ». Okay, on se calme ici, dans moins d’un siècle, se sera la montée du féminisme en Amérique, pas besoin de m’insulter pour une simple question. Évidemment, je n’ai pas dit ça à voix haute, on m’aurait envoyée sur le bucher, ah!

Vous savez, cette douce violence qui me caressait l’échine au moment où je lisais la manière dont Jack éventrait ses pauvres victimes n’est plus si veloutée, mais plutôt amère. Ils m’avaient pourtant avertis, mes collègues, lors de nos réunions secrètes, de ne pas me promener seule dans cette ville, plus particulièrement Whitechapel : « Évite de te laisser emporter par ta curiosité, Baudelaire, tu risques de te faire tuer ou pire, empâler un jour. » Évidemment, ils parlaient de me faire agresser, moi qui était si belle et attirante, dans ses foutues jupes et ce corset de merde, pour les habitants de la ville : une jeune femme à l’accent exotique et aux traits nouveaux. Ils n’avaient jamais vue de Russe avant? Bon sang, je détestais me sentir comme un animal de foire à chaque instant où j’ouvrais la bouche, comme si j’étais une imbécile. Ils se la fermaient bien assez vite quand ils réalisaient que j’en avais dans la tête. En tout cas, cette violence sourde ne me caressait plus l’échine, mais me l’attaquait.

Je me promenai le long de Whitechapel Road, bien décidée de me rendre à nos cartiers, et ce, le plus rapidement possible. En après-midi, j’étais entrée dans une bibliothèque qui gardait en archive beaucoup d’information sur la ville – quantité monstrueuse de ces documents avaient brûlés et en 2011, on ne pouvait y avoir accès, j’en profitais donc – et l’homme qui tenait l’endroit ne me posa aucune question. Je crois qu’il était bien trop heureux d’avoir enfin quelqu’un qui s’intéresse aux livres. Il m’avait dit que les affaires n’allaient pas nécessairement bien depuis les attaques de Jack l’Éventreur. Évidemment, les gens ne voulaient plus sortir de chez eux, excepté moi, qui avais vécu trop de misère pour me douter qu’il pourrait m’arriver quelque chose de pire. Enfin, la noirceur attaqua bien rapidement la ville et je ne m’en rendis compte qu’au dernier instant. J’ai soupiré longuement, puis j’ai ramassé mon sac, remerciant le vieillard avant de quitter. « Faites attention Milady, dehors il est dangereux de s’y promener, surtout si on est aussi jolie que vous. » Je le remercia avant de refermer la porte derrière moi, trop sure que j’étais hors danger, malgré ce stupide frisson de cette violence qui me secouait la colonne vertébrale et je regrettai de ne pas avoir apporter un châle. Je sentis que quelqu’un me suivait, lorsque j’accélérai le pas que très légèrement, je sentis que la personne derrière moi fit de même. Ma respiration devint plus vive, des sueurs froides commençaient à glisser le long ma nuque et mon cœur semblait vouloir éclater. Pourtant, je me mis à penser que je délirais, peut-être que cette personne se dépêchait autant que moi de se rendre chez elle. Puis je tournai le coin et je m’enfouie dans la noirceur d’un cul de sac et je réalisai que cet endroit était l’Impasse Downfall, quelle foutue galère. Je ne vis pas l’ombre de mon poursuiveur passer dans la lueur de l’avenue que je venais de quitter. Je m’appuyai contre la paroi glacée du mur, observant le ciel étoilé, pourtant je ne me sentais pas plus en sécurité. Cette étrange impression, elle-même qui venait me hanter lorsque je me trouvais dans la même pièce que mon infâme paternel, vint s’emparer de moi. Elle ne me trompait jamais et comme de fait, une ombre se jeta sur moi, provenant du fond de l’impasse. Affolée, je me retrouvai avec le corps masculin sur moi, qui m’empêchait de bouger tant la masse musculaire était imposante. Je tentai de hurler, mais sa main crasseuse se posa sur ma bouche. Le salaud, il venait de me fendre la lèvre tellement il avait fait ça brusquement. J’ai tenté de me débattre, tellement fort, mais rien n’y fit. « Tu es drôlement bien habillée pour une catin, oh à moins que tu ne sois qu'une innocente petite pucelle. Je vais t’éduquer ce soir. » Un rire gras sortie de sa gorge, un frisson de dégoût parcourra mon corps. Le con, s’il savait à quel point je n’avais pas besoin de cette éducation, j’en savais certainement plus que lui sur le sujet. Pourtant, je ne pu rien dire, tant sa main oppressait ma bouche. Puis je le sentis déchirer les lacets de ma robe, me dénuder l’épaule et je ne sais de quelle façon, ouvrir mon corset, dévoilant ma poitrine d’une pâleur lunaire. Je voulu hurler, des souvenirs horribles venaient de s’implanter dans mon esprit, celui du viol que mon frère m’avait fait subir. Je me secouai, mais ses jambes écrasaient les miennes et son bassin maintenait mon torse en place. Il trouva le moyen de soulever mes jupes et de m’embrasser la gorge, alors que je maudissais les vêtements d’époques qui n’avaient pas encore inventé les petites culottes, dernière barrière contre l’envahisseur. Des larmes vaincues commencèrent à couler le long de mes joues, alors qu’il s’apprêtait à ravager mon ventre et que je me préparais à sentir mon corps se faire souiller une deuxième fois. « Non » fut tout ce que j'arrivai à dire avant de le coup de grâce.
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Ambroise V. Bonham

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MessageSujet: Re: He left no time for regret, kept his dick wet | Ambroise   He left no time for regret, kept his dick wet | Ambroise I_icon_minitimeJeu 15 Sep - 17:55

Je n’avais jamais vraiment été féru d’histoire. En réalité, j’avais fait une fixation sur la guerre froide, et en particulier, sur le bloc communiste. Sans doute était-ce parce que je l’avais plus ou moins vécue, et qu’il s’agissait là d’une façon comme une autre de clarifier certains points obscurs de mon passé. Je n’avais pas vraiment de souvenirs avant mes six ans, âge auquel je suis arrivé en Amérique. Pas d’images, juste des impressions. La faim, quasi constante. Les contrôles fréquents par la police, et les forces de l’ordre qui inspiraient la peur. Des souvenirs décousus et sibyllins, que j’essayais de me remémorer mais sans succès. Cette période continuait à représenter un vaste trou noir, un néant qui m’effrayait parfois. D’autres fois, pour me consoler, je me disais qu’il y avait des histoires qu’il ne valait mieux pas remuer. Des choses qui, de préférence, devaient rester secrètes. Si Vlada n’avait jamais voulu me révéler certaines choses, c’est qu’il y a une bonne raison, non? Oui mais voilà, à l’époque, j’étais encore un enfant, dont il fallait préserver l’innocence le plus longtemps possible. On devait lui cacher les yeux pour qu’il ne voit pas le tableau empli d’horreur qui se déroulait sous ses yeux. À présent que j’étais un adulte, proche de la quarantaine -même si, dieu merci, j’avais encore cinq ans avant d’y parvenir -, les choses devaient-elles être pour autant différentes? Mon insatiable curiosité approuvait. Il n’y a rien qui puisse rester hors mes connaissances, aussi je m’étais mis en tête d’enquêter sur ce trou noir qui béait: mon passé. Parce que je ne parvenais pas à envisager de m’intéresser à l’Histoire, celle que façonne l’Humanité, avant d’avoir complètement éclairci les zones d’ombres qui jalonnaient la mienne. Les dates ne m’avaient jamais vraiment réussi. D’ailleurs, c’était quand l’anniversaire de ma mère? Je crois bien que l’on n’en avait jamais rien su, je ne me souviens pas d’avoir fêté son anniversaire un jour. Je suppose que cela faisait partie des détails que Vlada avait voulu enterrer en même temps que son ancienne vie. Je n’avais toujours pas compris pourquoi ma mère avait tant cherché à oublier son passé, alors que je m’acharnais à reconstituer le mien.

Je m’étais retrouvé dans le vieux Londres, en 1888. Époque où sévissait Jack l’Eventreur, disait-on. Eventreur dont on n’avait pas encore vu la couleur, juste les cadavres purulents qu’il avait laissés derrière lui. Les victimes? Souvent des prostituées, des filles isolées qui traînait dans Whitechapel. Ma surveillance s’en retrouvait donc accrue. Tous les soirs, je m’assurais qu’aucune jeune fille venue participer au projet ne manque à l’appel. Il ne faudrait pas qu’en voulant faire avancer la science, elles y laissent leur vie. Ça ferait désordre. Et surtout, ce serait un nouvel échec. Un échec qui venait s’ajouter à mon palmarès peu glorieux, s’intercalant entre le renvoi de mon ancienne école, et ma capture en Afghanistan. Et je ne supportais pas l’échec. J’étais ce qu’on appelle un bourreau du travail, un accro à la réussite. J’avais été élevé dans l’optique de donner le meilleur de soi, d’être toujours plus exigeant envers moi-même ou envers les autres. Et exigeant, je l’étais. Parfois trop. Au point même d’être irascible envers ceux qui m’était hiérarchiquement inférieurs. Il ne se passait pas un jour sans que je ne leur fasse part de mon coup de gueule, concernant une mission qui avait mal été exécuté, ou quand ils s’étaient permis de prendre trop de libertés par rapport aux ordres qui avait été donnés. Il y avait toujours les jeunes, qui se croyaient plus forts que le reste du monde, et qui se permettaient de transgresser le couvre-feu, pour aller se promener la nuit dans Londres. Et cela avait don de m’exaspérer, de devoir rappeler à l’ordre tous ces petits cons qui oubliaient qu’un tueur en série sévissait dans Whitechapel. D’ailleurs, je me demandais pourquoi les têtes pensantes du projet avaient voulu nous envoyer à cette époque. Franchement, il y avait moins glauque, comme période historique. Et surtout, moins dangereux. Ca revenait à nous parachuter en pleine guerre. C’est absurde. Mais bon. Je n’avais pas vraiment mon mot à dire, quoique bien placé dans la hiérarchie. On m’avait affecté à une mission de surveillance, je devais m’en tenir à cette mission, point.

J’étais parti boire un verre avec d’autres têtes pensantes. Bien que nous fussions à l’origine de tout ça, nous n’en pipions mot lorsqu’on était dans un lieu public tel que celui-là. Le projet devait rester confidentiel, et il ne s’agissait pas non plus d’alerter les vrais habitant de l’époque, n’en déplaise aux habits factices que nous portions. On avait trinqué pour je ne sais plus quelle occasion, mais bientôt, j’avais ressenti le besoin de sortir. Parce que j’étouffais là dedans. Trop de monde, trop de rires qui résonnent et me fracassent le crâne. La tête qui tourne, les bouffées de chaleur qui montent par intermittence. Je fus tenté d’enlever un ou deux boutons à ma chemise, mais un gentilhomme savait rester pudique, aussi je privilégiai une solution toute bête, bête à pleurer. Je sortis prendre l’air, une vieille gitane pendue aux lèvres, et qui se consumait doucement. J’inspirai la précieuse nicotine qui en émanait, avant d’expirer non sans soupirer au passage. Tranquille, j’étais enfin tranquille. Et je savourais cette tranquillité toute relative, brisée lorsqu’un chat fila non loin de moi, ventre à terre. Ce chat qui miaulait et feulait furieusement. Il y avait quelque chose dans l’air, quelque chose d’encore plus malsain que ces foutues tragédies qui se déroulaient juste sous nos yeux -paix à leur âme. Puis, un rire gras, guttural, qui déchira la nuit. Un cri de protestation. Mon cœur qui se mit à cogner. Whitechapel. Nuit. Jack l’éventreur. Allait-il faire une nouvelle victime? Si oui, je me devais d’intervenir, il était hors de question que ce pervers macabre tue une énième fois. Il fallait épargner aux passants la vision d’horreur qu’allait leur inspirer cet étalage de viscères au petit matin, lorsqu’ils sortiraient de leurs demeures afin de vaquer à leurs occupations habituelles. Surtout, il fallait épargner la vie de cette femme, sinon, j’allais vivre avec ça sur la conscience. Et j’en avais déjà beaucoup, de morts sur la conscience. Peut-être même trop. Alors, je sortis mon arme de son étui, planqué sous ma chemise. Par mesure de sécurité, je ne sortais jamais sans un flingue. On ne sait jamais ce qui pouvait surgir de l’ombre, surtout par les temps qui courent. Tout en avançant à pas de loup, je chargeai l’arme, avant de la brandir devant moi. Je me tassai contre le mur, une fois dans l’impasse. Plus loin, il y avait effectivement une jeune femme, aux prises avec un vieux pervers. Je n’hésitai pas une seule seconde. Je pris la peine de viser, avant de presser la gâchette. Le coup partit, alors que j’eus un léger mouvement de recul, soufflé par la puissance du tir. Puis, l’homme s’effondra. Il n’y avait plus qu’une masse inerte au sol, abattue d’une balle en pleine tête. J’enjambai froidement le cadavre, pour attraper le bras de Solange, que je connaissais de vue puisqu’elle faisait partie des coordinateurs du projet. « Vous n’avez rien? » je demande, en l’inspectant de la tête aux pieds pour m’assurer qu’elle allait bien. Que ce salaud n’avait pas provoqué je ne sais quelle contusion. Sans doute aurait-elle des marques pendant plusieurs jours, là où il l’avait attrapée, alors qu’elle se débattait pour se soustraire à sa poigne meurtrière et vindicative. Puis, je la poussai en avant, sans me soucier qu’elle fût remise de son agression -elle allait de toute manière mettre quelques instants, voire quelques jours pour sortir de son état de choc. Je lui passai un mouchoir pour qu’elle se tamponne le visage. « Vos yeux. » je commente, d’une voix mécanique. Le maquillage, sombre, qui avait coulé. Son teint blême et fantomatique. Enfin, je l’agrippai par le bras, puis la pressai un peu. « Dépêchons nous, il ne faut pas rester ici! Les gardes ne vont pas tarder à débarquer s’ils ont entendu le coup de feu. » Je fis un petit bout de chemin. Et alors que je marchais, sans lâcher pour autant la pauvre Solange, sans m‘assurer qu‘elle pouvait suivre mes grandes enjambées ou non, je maugréais. « Vous promener dans Whitechapel; non mais vraiment! Vous savez que c’est pas l’endroit le plus approprié pour se promener la nuit? Dieu sait ce qui se serait passé si je n’étais pas intervenu! Imaginez donc une seule seconde que vous ayez eu affaire à Jack. Vous seriez éventrée à l’heure qu’il est. » Et bla, et bla, et bla. Je continuais de la sermonner, ayant en tête l’idée de revenir à la base. Plus tôt nous serions rentrés et mieux ce serait. Traîner par ici était vraiment la dernière chose à faire, surtout par les temps qui courent.
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